Entre l’Australie et l’Indonésie, nous avons passé 5 jours à Singapour.
Ce mini pays est devenu en l’espace de 50 ans un concentré d’ultramodernité digne d’un film de science fiction. On pourrait qualifier Singapour de Dysney-land pour adultes, de temple du shopping, d’eldorado pour expatrié, ou encore de paradis pour Super Maniaque!
On y travaille pour un salaire élevé, les immenses shopping-centers se comptent par dizaines, tous les loisirs et attractions possibles vous sont proposés, on pourrait manger par terre tellement la ville est propre et les grattes ciels futuristes poussent ici comme des cocotiers (nous sommes sous les tropiques). La recette de cet essor économique spectaculaire? Un bon régime dictatorial comprenant peine de mort et châtiment corporel (des coups de bâton !) auquel s’ajoute une bonne dose de capitalisme intégriste associé à un goût prononcé pour l’importation de technologies et de capitaux étrangers.
 |
| Vous ne rêvez pas, il y a bien un bateau dans le ciel... |
Et maintenant, une petite page de pub :
 |
"A Singapour, vous pourrez skier sans montagne, A Singapour, vous pourrez surfer sans vague, A Singapour, vous pourrez faire de la chute libre sans parachute, A Singapour, vous pourrez faire du ski nautique sans bateau, A Singapour, nous n’avions rien mais nous avons tout fait pour votre plaisir (artificiel)! " |
En ce qui nous concerne, c’est humainement parlant que nous aurons apprécié notre séjour ici. En effet, en tant que carrefour de l’Asie, à Singapour nous avons croisé la route de nombreux amis !
 |
| Yves, Marie, Léa et Stanoucéline |
Tout d’abord, nous avons rencontré la nouvelle princesse des lieux : la petite Léa ! Une merveille au sourire ravageur. La douceur et la beauté de bébé Léa n’ont d’égale que celle de ses heureux parents David et Marie que nous remercions sincèrement pour leur accueil si attentionné. Jusque-là, les 4 premiers mois de la vie de bébé Léa avaient été plutôt simples, rythmés par les tétés et câlins de ses parents ; la coupe du monde de rugby est venue tout perturber… Un jour supportrice de la France avec sa maman, un autre, supportrice de la Nouvelle-Zélande avec son Papa, elle est en proie depuis une semaine à un cruel dilemme car la finale opposera la France à la nouvelle Zélande ! Pas facile d’être née moitié kiwi moitié crêpe…
 |
| Léa, Marie, David et nous... |
Ensuite, nous avons retrouvé mon ami Thierry pour une session de surf… sur une vague artificielle. Installé comme ostéopathe à Zermatt, Thierry est un globe trotteur insatiable qui, à l’heure qu’il est, parcourt les routes du Myanmar encore appelé la Birmanie. Il était accompagné de son amie, la charmante Frédérique, que nous avons été ravis de rencontrer.
Stan a renoué avec ses premiers amours, le téléski nautique et retrouvé sa copine Charlotte.
Enfin, c’est avec Yves, un de nos hôtes australiens qui revenait de chez Mr le Sultan (du Brunei), que nous avons partagé l’expérience du simulateur de chute libre.
 |
| Céline, Stanouille et Yves avant de sauter... |
